En marchant
L’arrogance du sentier
Sa tendresse
Font le goût des heures
Chacune pèse
Sur celle qui la suit
Aujourd’hui encore
Seul avec elles
Me vient cette image
Nette
Arriver chez-moi
Loin
Y trouver un courrier
Abondant et palpable
Celui des amis
Qui m’écrivent encore
Cette idée me poursuit
Le chemin s’élargit
Et soudain
Les oiseaux de mer
***
VersChez, ce n’est pas que des haïkus !
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Les oiseaux porteurs d’un courrier peut-être..
Oui, peut-être 🙂 … Une présence bienfaisante, en tous cas !